« Avec cette décision, les autorités sont en train de tuer la culture au Liban. Beaucoup de spectacles cesseront d’être organisés, alors qu’il y en a déjà très peu », s’insurge auprès de L’Orient-Le Jour Richard Pharaon, PDG de We Group. « C’est une mesure qui part d’un bon sentiment, mais qui sera contre-productive et aura très certainement des effets pervers », dénonce également le producteur et directeur artistique du festival de Byblos, Naji Baz.
LIBAN - Une taxe sur les artistes étrangers inquiète le monde du spectacle
27 janvier 2018 - par
L’Orient le Jour