Nous sommes le 25 février dernier, et cela se passe dans une classe (virtuelle) du Toronto District School Board. Nadine Couvreux, une enseignante d’expérience, tient une rencontre dans le cadre de son cours d’immersion en langue française donné à des élèves de 16 ans. C’est un moment consacré à la poésie. L’enseignante distribue (virtuellement) deux textes qu’on étudiera : un poème de L.S. Senghor et un autre de Prévert intitulé Pour toi mon amour.
Ils ont osé !
15 juin 2021 - par
Le Devoir