« Ah que c’est beau ! » s’exclame ironiquement Julien Davin. Ce boucher dans la cinquantaine originaire de l’Aquitaine n’en revient pas. Depuis cet automne, la petite avenue Gambetta où sa boucherie a pignon sur rue est devenue un parcours à obstacles où automobilistes et cyclistes serpentent entre d’affreux blocs de béton jaune la plupart du temps cassés et tagués. Un peu comme dans une ville en guerre.
Paris est-il en train de devenir « moche » ?
27 avril 2021 - par
Le Devoir