Le 22 février 2019 débutait en Algérie un important mouvement de contestation, d’abord contre la candidature du président Abdelaziz Bouteflika à un cinquième mandat, puis contre le système au pouvoir. Le Hirak a abouti au départ de l’ancien chef de l’État (décédé en septembre dernier), après 20 ans à la tête du pays. Mais l’élection présidentielle contestée organisée fin 2019 n’a pas mis un coup d’arrêt aux contestations.
Trois ans après, que reste-t-il du Hirak ?
22 février 2022 - par
RFI